Michel avait acheté des fleurs, et nous les avons portées jusqu'au stupa, qui est juste derrière la maison de Michel.
Nous n'avons pas eu à escalader la clôture, comme les Bozo l'année dernière ! Heureusement car il faisait une chaleur torride.
Chacun a déposé sa fleur, et fait une petite prière. Une pensée émue pour ce grand homme qu'à été Papy Oudom, pour ma grand mère Mamichou qui suit notre voyage, et pour ma maman et mes tantes.
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RépondreSupprimerTrès belle page, très émouvante. Comme l'écrit Palamy, son grand père fut vraiment un grand homme : d'abord il a été le premier médecin du Laos et a exercé jusqu'à la fin de sa vie. Ensuite il a été aussi un homme d'Etat, plusieurs fois ministre et même président de l'Assemblée nationale. Il était aussi un grand sportif, il jouait beaucoup au tennis, comme Paul !
RépondreSupprimerLa mort est considérée par les bouddhistes comme un événement heureux, car celui qui s'en va est détaché de tous les maux d'ici-bas. Les Lao n'enterrent pas leurs morts, mais les incinèrent, on appelle cela la cérémonie de crémation. Quarante-huit heure après, la famille recueille les cendres dans une urne et soit les place dans un stupa, soit les disperse dans la nature. Pour Papy Henri et Mamivone -les grands parents paternels de Luna et Oscar-, nous avons dispersé leurs cendre au fil du Mékong.
Petite précision : il s'agit des arrières-grands-parents de Luna et Oscar... ;+)
RépondreSupprimermerci Guy pour vos commentaires qui enrichissent ce voyage.
RépondreSupprimervalérie