Nous prenons un bateau pour Don Khong, l'île qui se situe le plus au nord des Siphandon. Le voyage dure deux bonnes heures.
Nous assistons à des scènes de la vie quotidiennes au bord du fleuve :
Lavage de moto
Bain des enfants
Oscar et Luna sont très excités.
Depuis le bateau, nous apercevons Katoune et Marie-Hélène qui nous font signe, puis un peu plus loin Henri et Pépé qui pêchent. Quelle joie ! Tous les 4 viennent nous accueillir au débarcadère, nous sommes tous très heureux de nous retrouver et avons mille choses à nous raconter. Nous déjeunons sur une terrasse au bord du Mékong.
Nous nous installons dans la superbe maison coloniale à côté de leur hôtel.
L'après-midi les enfants restent avec Katoune (pas question pour eux de la lâcher !) et Marie-Hélène, ils vont profiter du bain dans la piscine à débordement d'un hôtel voisin. Nous enfourchons des vélos avec Paul pour faire un petit tour sur l'île. C'est joli mais moins dépaysant que Khone. A l'aller nous empruntons un petit chemin jusqu'au grand pont en construction, puis nous rentrons par la route, au milieu des rizières. Ici la civilisation est beaucoup plus présente, des routes, des voitures.
Demain les parents ont prévu une balade en bateau vers Khone, mais comme nous en venons, nous opterons pour une balade à vélo puis une après-midi sur la terrasse de l'hôtel, on a envie de profiter de ce joli cadre avant de quitter le Laos, le lendemain.
Le soir, dîner, toujours au bord du Mékong, on ne s'en lasse pas !
Au retour, hier soir tard de Bucarest, pour la deuxième partie de la mission ce cours, où nous nous sommes retrouvés dans la neige jusqu'au chevilles, et en train de nous préparer pour partir à Strasbourg tout à l'heure, nous continuons à nous réchauffer tous les matins à la contemplation du blog. Retourner au Laos devient impératif. Pour moi, sans démagogie, c'est resté mon plus beau voyage (mais c'était en 93…). Avons depuis rencontré aussi le Vietnam, et le Cambodge, où nous avons emmené maman il y a six ans, en compagnie des Féral. Elle y avait été avec mon père, ainsi qu'en Chine, en 1963 ("je vous parle d'un temps que les moins de cinquante ans —hé oui !— ne peuvent pas connaître …). Très belles expériences aussi.
RépondreSupprimerAutre joie de l'ouverture du blog ce matin : y voir Catherine et Yves, Marie Hélène et Henri. Plein de bises à eux 4. Aimerions tellement être par là avec vous. On vous embrasse tous très fort. Anne et Denys